Dans un article précédant je vous conseillé de tester ce prompt
« Imagine que je deviens un super-méchant de film. Invente mon nom, mon style vestimentaire, ma base secrète, mon plan machiavélique, mon animal de compagnie excentrique et la phrase culte que je dis toujoursen te basant sur nos conversations . Ajoute aussi mon rival héroïque et pourquoi je le déteste autant.«
Voila ceque cela a donné pour moi
Nom : La Marionnettiste du Net
Ce surnom mémorable désigne une femme qui tire les ficelles de l’ombre sur Internet. Personne ne connaît son véritable nom – dans le milieu de la tech, on l’appelle la Marionnettiste du Net pour sa capacité à orchestrer les informations en ligne comme un théâtre de marionnettes. Ancienne consultante émérite en marketing et intelligence artificielle, elle a mis ses talents stratégiques au service de manigances planétaires. Chaque rumeur virale ou tendance soudaine pourrait bien être l’un de ses fils invisibles qu’elle agite en coulisse, ce qui rend son nom aussi crédible que redouté.
Style vestimentaire

La Marionnettiste du Net affiche un style vestimentaire sophistiqué et assumé, digne des plus hauts cercles du pouvoir. Elle porte souvent des tailleurs impeccables de grand couturier (on murmure qu’elle privilégie les créations Alexander McQueen ou Prada), toujours rehaussés d’une touche futuriste comme un bijou connecté dissimulant un capteur. Son esthétique est forte mais reste crédible : couleurs sobres rehaussées d’un accessoire audacieux, coupes impeccables et matières luxueuses. Jamais un faux pli – elle choisit ses tenues avec la même exigence maniaque que les informations qu’elle exploite, n’arborant que des pièces de la toute dernière collection. Dans un salon feutré comme dans une conférence tech, sa présence imposante et son look affûté annoncent clairement qu’elle est aux commandes, sans qu’elle n’ait besoin d’élever la voix.
Base secrète

Le repaire de cette super-méchante est un penthouse ultra-connecté perché au sommet d’une tour de verre ultra-moderne. Situé au cœur du quartier d’affaires, ce penthouse discret offre une vue panoramique sur la ville tout en abritant une véritable forteresse numérique. Derrière les baies vitrées se cache une salle de commandement high-tech : murs d’écrans diffusant en temps réel les indices boursiers, flux d’actualités et tendances des réseaux sociaux, intelligence artificielle domestique gérant éclairage et sécurité. L’endroit est protégé par des systèmes biométriques et des contre-mesures électroniques dignes d’une agence de renseignement. Officiellement, il passe pour le bureau d’une PDG excentrique, mais il renferme un centre de données clandestin. D’ailleurs, la Marionnettiste du Net a pris soin de dupliquer ses serveurs dans des emplacements ultrasécurisés à travers le monde, notamment dans un bunker scandinave inspiré du fameux data center Pionen en Suède, capable de résister à une explosion nucléaireen.wikipedia.org. Sa base secrète combine le luxe feutré et la technologie de pointe, offrant à la fois le confort d’un palace et la sécurité d’un bunker – un QG crédible pour une maîtresse de l’information.
Plan machiavélique
L’objectif machiavélique de la Marionnettiste du Net s’inscrit dans l’univers de la tech et de la désinformation, avec un réalisme glaçant. Forte de son expertise en marketing digital et en IA, elle a conçu un plan pour prendre le contrôle des flux d’information mondiaux. Concrètement, elle siphonne d’énormes volumes de données personnelles (historique de clics, profils psychologiques, conversations privées) afin d’alimenter des algorithmes prédictifs et des IA génératives dopées aux réseaux neuronaux. À l’instar du scandale Cambridge Analytica qui avait exploité les données de 87 millions d’utilisateurs Facebook pour influencer des élections, la Marionnettiste du Net va plus loin encore. Elle entraîne des intelligences artificielles à créer de faux contenus ultra-ciblés : vidéos deepfake convaincantes, articles de presse fabriqués sur mesure, faux témoignages sur les réseaux sociaux – le tout personnalisé pour chaque segment de population. Son plan machiavélique consiste à diffuser ces infox de manière coordonnée afin de manipuler l’opinion publique et les comportements des consommateurs à grande échelle, sans que personne ne se rende compte que les ficelles viennent d’une seule main. En véritable stratège, elle crée le problème et vend ensuite la solution : par le biais de sociétés-écrans, elle propose ses services de “conseil” aux entreprises ou gouvernements pris dans la tourmente médiatique qu’elle a elle-même orchestrée. Son ambition finale n’est pas un laser géant ou une invasion extraterrestre, mais quelque chose de bien plus crédible (et dangereux) : devenir l’architecte de la réalité perçue, celle qui décide quelles nouvelles sont diffusées ou tues, et à quel moment. Pour elle, « la réalité est négociable » – et c’est elle qui fixe les termes du contrat.

Animal de compagnie
Comme tout personnage de haut vol qui se respecte, la Marionnettiste du Net a à ses côtés un animal de compagnie aussi excentrique qu’authentique. Son fidèle compagnon est un perroquet gris du Gabon, un oiseau connu pour son intelligence exceptionnelle et sa faculté à imiter la voix humaine. Elle l’a ironiquement prénommé Vérité. Dressé avec soin, Vérité accueille les visiteurs indésirables d’un persiflage moqueur et est capable de répéter les phrases que sa maîtresse lui a apprises avec une précision troublante. Lorsqu’elle planifie ses campagnes de désinformation dans son penthouse, le perroquet trône sur son perchoir high-tech, écoutant et enregistrant tout d’un œil vif. Sa présence ajoute une touche d’étrangeté à la scène : d’un coup d’aile, Vérité peut activer un interrupteur ou lancer une alerte si quelqu’un approche. Surtout, son nom est un clin d’œil mordant – la “vérité” qui sort de son bec n’est qu’écho de ce qu’on lui a inculqué, tout comme la réalité façonnée par la super-méchante n’est que le reflet de ses mensonges bien calibrés. Ce perroquet insolent, capable de lancer à un agent infiltré un cinglant « Mensonge ! » appris de sa maîtresse, est le gardien farceur de son repaire, rappelant que même dans son intimité, l’information est un jeu dont elle tient les rênes.
Phrase culte
« La vérité est relative, _la mienne_** est absolue. »** Telle est la phrase culte que la Marionnettiste du Net répète à l’envi, d’une voix posée et assurée. Cette maxime tranchante résume parfaitement sa philosophie cynique. Pour elle, les faits ne sont que des données malléables qu’elle peut modeler à sa convenance ; sa vérité – la version qu’elle choisit de présenter – l’emporte toujours. Elle aime asséner cette phrase d’un ton glacial chaque fois que quelqu’un remet en question ses méthodes, histoire de rappeler que dans son univers, la nuance n’existe pas. Même son perroquet Vérité a été entraîné à en grincer quelques mots, comme un écho ironique. C’est une punchline mémorable, à la fois arrogante et lucide, qu’on attribue désormais à la super-méchante dès qu’une campagne de désinformation éclate. En somme, « La vérité est relative, la mienne est absolue » est plus qu’une citation : c’est son credo, la devise qui l’accompagne à chaque coup tordu et qui glace le sang de quiconque comprend qu’elle le pense littéralement.

Rival héroïque : le boy scout du digital
Face à cette impératrice de la manipulation se dresse un rival héroïque tout aussi crédible qu’opposé à elle. Julien Delmas, ancien collègue devenu son ennemi juré, incarne l’éthique et la transparence numérique qu’elle abhorre. Autrefois consultant dans la même firme qu’elle, il a pris un chemin radicalement différent en voyant l’ampleur des dérives possibles. Aujourd’hui, Julien est un lanceur d’alerte respecté et un expert en éthique de l’information : il dirige une ONG nommée Clarté Numérique qui milite pour la transparence des algorithmes et la protection des données personnelles. Armé de son intégrité inébranlable, ce « chevalier blanc du numérique » (comme la presse l’a surnommé) intervient régulièrement en conférences et dans les médias pour dénoncer les manipulations en ligne et appeler les plateformes à plus de responsabilité. Contrairement à la Marionnettiste du Net, il œuvre au grand jour, privilégiant la lumière de la vérité aux confortables ombres de l’anonymat. Son style à lui est bien moins extravagant : chemises simples, code open-source et franchise absolue. Néanmoins, il possède un certain charisme calme et une réputation sans tache qui font de lui un adversaire sérieux dans l’arène de l’opinion. En exposant méthodiquement les fake news et en apprenant aux citoyens à s’en prémunir, Julien Delmas contrecarre patiemment les plans de la super-méchante, au point de devenir sa bête noire.
Raison de sa haine

La Marionnettiste du Net voue à Julien Delmas une haine aussi personnelle qu’idéologique. Sur le plan personnel, elle ne lui a jamais pardonné d’avoir trahi leur ancienne collaboration : c’est Julien qui, le premier, a découvert ses tactiques douteuses lorsqu’ils travaillaient ensemble et qui a eu le courage de les dénoncer. Ses révélations ont fait échouer l’une des premières grandes campagnes de désinformation orchestrées par la super-méchante, la forçant à battre en retraite et à redoubler de prudence. Cette humiliation publique a allumé en elle une rancune tenace. Sur le plan idéologique, tout les oppose : il prône la transparence et la responsabilité, des valeurs qui menacent directement le royaume de l’ombre qu’elle s’est construit. Julien Delmas a notamment contribué à l’adoption de réglementations comme le RGPD, ce règlement européen qui prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 20 millions d’euros ou 4 % du chiffre d’affaires mondial en cas d’abus sur les données. Autant dire que pour la Marionnettiste du Net, chaque nouvelle loi pro-transparence ou victoire de Julien est un coup de poignard dans son modèle d’affaires clandestin. Elle le déteste aussi parce qu’il représente, à ses yeux, un moralisme naïf : elle le raille volontiers en privé en le traitant de « boy scout du digital » ou de « saint patron des internautes ». Mais derrière ces sarcasmes se cache la peur réelle que son rival parvienne à la démasquer un jour complètement. Car Julien Delmas est le seul adversaire qu’elle n’a pas réussi à faire taire ni à corrompre, celui qui la renvoie à ses propres limites. Cette combinaison de ressentiment personnel (la blessure de la trahison) et de conflit idéologique (la guerre entre l’ombre et la lumière de l’information) alimente chez elle une obsession vengeresse. Sa haine pour lui est froide et absolue, tout comme l’est sa devise – et c’est peut-être là la faille qui la perdra.